Le prix de la littérature arabe, version 2020

La Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe
présentent la 8e édition du Prix de la littérature arabe

Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe. Ce prix (doté de 10 000 €) promeut l’œuvre (roman ou recueil de nouvelles) d’un écrivain : ressortissant de la Ligue arabe, auteur d’un ouvrage écrit en arabe et traduit en français (ou directement écrit en français) et publié entre le 1er
septembre 2019 et le 31 août 2020.

La sélection des 6 à 8 ouvrages finalistes sera annoncée début septembre. Les ouvrages retenus seront soumis aux membres du jury – composé d’éminentes personnalités du monde des médias, des arts et de la culture, ainsi que de spécialistes du monde arabe – qui se réuniront ensuite pour désigner le (ou la) lauréat(e). Le (ou la) lauréat(e) recevra
le prix lors d’une cérémonie à l’Institut du monde arabe à l’automne 2020.

Editions précédentes

Depuis sa création par la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe, le Prix de la littérature arabe a été remis : en 2013 à Jabbour Douaihy, en 2014 à Mohamed al-Fakharany, en 2015 à Mohammed Hasan Alwan, en 2016 à Inaam Kachachi, en 2017 à Sinan Antoon, en 2018 à Omar Robert Hamilton pour son roman La ville gagne toujours (Gallimard / Collection « Du monde entier ») et en 2019 à l’égyptien Mohammed Abdelnabi pour son roman La Chambre de l’araignée (Actes Sud / Sindbad).

Les éditeurs ou écrivains qui souhaitent proposer un ouvrage éligible au prix doivent envoyer la (ou les) publication(s) en trois exemplaires à la Fondation Jean-Luc Lagardère (42, rue Washington ; immeuble Monceau, 75408 Paris cedex O8) avant le 30 juin 2020.

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Nicolas Beau
Ancien du Monde, de Libération et du Canard Enchainé, Nicolas Beau a été directeur de la rédaction de Bakchich. Il est professeur associé à l'Institut Maghreb (Paris 8) et l'auteur de plusieurs livres: "Les beurgeois de la République" (Le Seuil) "La maison Pasqua"(Plon), "BHL, une imposture française" (Les Arènes), "Le vilain petit Qatar" (Fayard avec Jacques Marie Bourget), "La régente de Carthage" (La Découverte, avec Catherine Graciet) et "Notre ami Ben Ali" (La Découverte, avec Jean Pierre Tuquoi)