Le putschiste Mahamat Déby, tout honte bue, condamnait en janvier 2021l e coup d’Etat au Burkina Faso, alors que quatre mois aupravant cet allié privilégié de l’armée française au Sahel faisait tirer sur son peuple lors d’une manifestation d’opposants qui mettaient en cause « la transition » bien peu démocratique qu’il avait décrété lors de la mort de son père et à son profit.
A la tête de l’organisation du G5 Sahel, qui regroupe cinq Etat, Tchad, Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger, Mahamat Déby Itno, fils d’Idriss Déby, arrivé au pouvoir par un coup de force anticonstitutionnel après la mort de son père n’a pas eu de mots assez durs pour condamner le coup d’Etat au Burkina Faso. Dans un communiqué publié le 25 janvier 2022, le jeune général « condamne énergiquement cette tentative d’interruption de l’ordre constitutionnel. (…) qui est de « nature à mettre en péril les acquis démocratiques dans ce pays membre ».
Il faut oser une telle duplicité, un putschiste qui dénonce les coups d’état.
Cinq morts et 30 blessés
Trois mois auparavant, les militaires aux ordres du président tchadien qui se montre si soucieux dans le cas du Burkina sur les « acquis démocratiques » tiraient sur la foule à Abéché, en faisant au moins 5 morts et une trentaine de blessés. Ce qu’ils ont fait à nouveau jeudi dernier et à une échelle autrement importante
Le lendemain, selon un tweet de l’opposant Succès Masra, https://twitter.com/Succes_
Déby fils de Déby est simplement un héritier alors que les autres sont putchistes.
Déby fils de Déby a seulement repris une chose familiale appartement au de cujus papa