Sous la main impitoyable de la DGSP (Direction générale de la sécurité présidentielle) – alors que cette opération relève de la police –, des jeunes, désignés de « bébés noirs », sont traqués, abattus
certains députés tunisiens, pourtant jusqu'alors fervents défenseurs de Kais Saied, viennent de rompre le silence de façon aussi surprenante que fracassante.
Qu'il s'agisse de commenter l'actualité en Israël et à Gaza ou l'attentat terroriste à Arras, explique l'excellent site "Arrèt sur image" sous la plume...