Beyrouth n’a pas eu besoin de regarder le ciel pour sentir, ce lundi 20 octobre, la gravité du moment. Les drones israéliens ont survolé la capitale à très basse altitude
Mais il ne s’agit plus de la grande stratégie des années 2000. C’est désormais un recalibrage opportuniste dans un paysage post-Gaza, où la Turquie cherche à s’étendre derrière la Russie et l’Iran, dans des zones eurasiatiques contestées.