Dès la première séquence le spectateur est immergé dans une atmosphère onirique et inquiétante : une cavalière un peu sorcière galope dans un désert poudreux puis soudain fait halte et se penche sur un lac-mirage. À peine descendue de sa monture elle y presse son sein turgescent pour déverser des ruisseaux de lait dans l’eau stagnante…