Rappelons d'emblée que l'auteur franco algérien du « serment des barbares », Boualem Sansal, dont nous saluons la libération, n'est pas pour autant un perdreau de l'année.
Dès après le premier putsch prétorien de1978, la corporation des officiers supérieurs a pu remodeler le jeune Etat, pour l’acclimater aux prérequis de la tribu et de l’ethnie, comme source tacites de légitimité.