"Je suis venue seule déclamer à haute voix mes pensées (…) Je suis venue pour la réconciliation", s’écrie Fairouz, telle une muse surgie des profondeurs de la mémoire, rappelant la discorde entre Cheikh Nasri et Abou Saleh, dans la pièce La Réconciliation issue de l’album Soirée d’amour, que sa bienfaisante influence a su transformer en une épiphanie de concorde.