Dès après le premier putsch prétorien de1978, la corporation des officiers supérieurs a pu remodeler le jeune Etat, pour l’acclimater aux prérequis de la tribu et de l’ethnie, comme source tacites de légitimité.
La Syrie, portée par la réhabilitation de son nouveau président Ahmad el-Chareh, s’affiche à Washington dans une volte-face aussi spectaculaire que fragile. Cette mutation...