Dans les quartiers de Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, aux nouvelles alarmantes du front, se mêlent, à présent, les voix d'enfants qui déclament, en russe, des poèmes du grand Alexandre Pouchkine.
Mezri Haddad, historien et diplomate, raconte l'ingratitude des dirigeants algériens qui, pour remercier Tunisiens et Marocains de leur aide dans le combat de leur pays