Sous la main impitoyable de la DGSP (Direction générale de la sécurité présidentielle) – alors que cette opération relève de la police –, des jeunes, désignés de « bébés noirs », sont traqués, abattus
certains députés tunisiens, pourtant jusqu'alors fervents défenseurs de Kais Saied, viennent de rompre le silence de façon aussi surprenante que fracassante.