BHL, jugé « en fuite », a vu sa peine portée de 35 à 43 ans de prison, plus 5 ans de « surveillance administrative ». Et sur la base de rapports des services secrets algériens
au Mali, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans paraît s’inspirer de l’évolution qu’a connue HTC, en recentrant son djihad sur l’échelon national, quitte à délaisser toute ambition globale.