Jadis incontestée, sa nationalité centrafricaine qu'il aurait perdue en devenant français est désormais brandie comme une arme politique. Ce qui se joue autour de lui dépasse sa personne : c’est la démocratie elle-même qui vacille.
Sous couvert de “procédure constitutionnelle”, Madagascar vient, à son tour, de basculer dans une zone d’ambiguïté institutionnelle qui n’a rien d’anodin. Un nouveau coup...