Après avoir été mis en cause par « Mondafrique » notamment pour posséder des biens immobiliers et quelques économies à Paris, Amar Saadani porte plainte contre notre site sur « citation directe ». Nous publions la photo d’une joyeuse fète organisée à Paris par un des fils Saadani, Adel, apparemment dans l’appartement familial de Neuilly sur Seine.
Malgré les preuves que nous possédions (statuts de Sociétés Civiles Immobilières, carte de résidence) et les nombreux journalistes qui avaient enquêté sur les forts soupçons de corruption qui pesaient et pèsent encore sur Amar Saadani, patron du FLN, ce dernier porte plainte contre le site Mondafrique qui dans plusieurs papiers est revenu sur ces dossiers. Ce procès, si du moins monsieur Saadani n’abandonne pas les poursuites, sera l’occasion pour de nombreux témoins et pour nos avocats de démontrer, avec certains documents à l’appui, la réalité de notre bonne foi.
Dolce vita à Paris
Ainsi Monsieur Saadani nous explique qu’il ne possède aucun bien immobilier à Paris et que ses enfants n’ont jamais habité à Paris et Londres. Il faudra que le patron du FLN explique, lors de l’audience, comment un de ses fils, Adel, actionnaire à ses cotés de la Société l’Olivier qui possède un appartement de Neuilly, organise des fêtes parisiennes. Sur son Facebook, où Adel s’affiche avec son père dans un décor luxuriant de palmiers et de voitures de luxe, on découvre une photo d’une soirée apparemment joyeuse où Adel est entouré de ses amis. Le cliché est intitulé « Home party » à Paris ( « soirée à la maison » à Paris)