Le patron de la police algérienne (ou DGSN), le cinquième en quatre ans (!), Farid Bencheikh, est un des rares « sécuritaires » sur qui peut compter, depuis mars 2021, le président Tebboune
« Transfert illicite de devises, enrichissement illégal, résidence de luxe en France et grand patron de la police en Algérie, une partie des frasques de l’Algérien Farid Bencheikh a été révélée dans des documents exclusifs qui montrent les relations économiques et politiques des dirigeants algériens avec la France où ils possèdent des affaires florissantes » Voici ce qu’écrivent des medias proches de certains services algériens. Lesquels livrent une guerre médiatique féroce contre « le policier » du Président Tebboune
Proximité avec la France.
Une certitude, le patron des flics algériens, qui est rentré à la DGSN dans les années 1990, a débuté sa vie professionnelle en France au service de l’administration pénitentiaire. C’es là que Farid Bencheikh a connu, ente autres, une haut fonctionnaire du ministère français de l’Intérieur, Catherine Chambon, chargée de la lutte contre la cybercriminalité.
C’est dire les liens étroits qu’entretiennent la police algérienne, l’entourage d’Emmanuel Macron et certains éléments de la police française
Basses oeuvres
Farid Zineddine Bencheikh, fidèle entre les fidèles du Président tebboune, rend quelques services à son protecteur. C’est ainsi que ses services ont demandé récemment au ministère des finances les dossiers de huit « barbouzes » des services secrets. L’initiative n’a pas plu à tout le monde. D’où la campagne de presse qui a débuté, ces derniers jours, contre lui. Et ce n’est qu’une première salve.
Au delà de ces escarmouches médiatiques, se profile la question, fort discutée au sein des services sécuritaires, d’un deuxième mandat du Président Tebboune, soutenu pou l’instant par les Français….et les chefs de la police algérienne..
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