Au delà de la rupture de leurs relations diplomatiques, Alger et Rabat poursuivent discrètement es discussions sur le renouvellement en octobre du contrat du gazoduc entre l’Algérie et l’Europe qui transite par le Maroc
Le seul sujet qui pourrait inquiéter le Maroc après la décision algérienne de rompre les relations est celle de la possibilité de la fermeture du gazoduc Maghreb-Europe, qui relie depuis 1996 les gisements algériens à l’Europe via le royaume marocain. Le contrat expire en octobre prochain et l’absence de tout contact officiel entre les deux pays rend son renouvellement problématique. D’autant plus que l’Algérie a développé le gazoduc Medgaz, acheminant le gaz directement de ses gisements vers l’Espagne.
Des intérêts communs
En fait les deux pays ont tout intérêt à renouveler leurs accords en matière de transport gazier. Le gazoduc qui relie directement l’Algérie à l’Espagne fonctionne en effet à plein, les Algériens ont encore besoin d’un deuxième gazoduc. Quant aux Marocains, ils ne peuvent pas se passer des 7% de gaz qu’ils ponctionnent sur les volumes transitant par leur territoire.
Les tractations de la dernière chance se poursuivent actuellement pour trouver un accord. Alger a laissé la question en suspens en affirmant qu’il reviendrait d’en décider à la société Sonatrach, le mastodonte qui gère le gaz et le pétrole algérien.
Une contradiction de rompre les relations et reconduire ce contrat. Nous ne gagnons rien sur ce projet 200 millions de royalties et des millions de me de gaz en contre partie desxtonnes de Hash arrêtez ce massacre et mettez cet état narco trafiquant dos au mur.
Vivement une rupture totale avec le Makhzen: fermeture du gazoduc Maghreb-Europe, fermeture totale de l’espace aérien algérien pour les compagnies marocaines mais aussi pour les compagnies étrangères qui desservent cette cette destination, rupture de relations commerciales et consulaires. Que nos dirigeants soient à la hauteur de ce rendez-vous avec l’histoire pour neutraliser une fois pour toutes les agissements du makhzen contre notre pays.