Le président sortant, candidat à sa propre succession pour la présidentielle qui doit se tenir en fin d’année, ne peut pas compter sur son seul bilan – quasiment inexistant – pour faire campagne. Il lui faut donc jouer une autre carte, celle des calculs politiciens, pour espérer l’emporter le 20 décembre prochain. Une stratégie qui fait resurgir sur le devant de la scène congolaise une série de personnalités décriées.