Dans les quartiers de Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, aux nouvelles alarmantes du front, se mêlent, à présent, les voix d'enfants qui déclament, en russe, des poèmes du grand Alexandre Pouchkine.
certains députés tunisiens, pourtant jusqu'alors fervents défenseurs de Kais Saied, viennent de rompre le silence de façon aussi surprenante que fracassante.
En Israël, le pouvoir, le vrai, n’est pas dans le bureau du Premier ministre. Il est dans l’armée et dans la magistrature. Mais cela est en train de changer.