Les affaires de corruption, de détournement des biens publics, de délinquance financière semblent être de mauvaises habitudes bien ancrées dans la pratique mauritanienne. Il y a quelques semaines, le contrôle général d’Etat a été placé sous l’autorité directe de la présidence de la République. Un signal, semble-t-il, pour marquer la volonté du pouvoir politique de combattre ce fléau. Nous ne pouvos que nous en réjouir. À condition que les actes suivent.
Une chronique de maitre El Yezid YEZID