Pour la Tribune de Genève, qui s’appuie sur des sources médicales, le président Bouteflika se trouve « sous menace vitale permanente », rendant hautement probable l’annonce d’un report des élections présidentielles.
D’après les informations publiées par « la Tribune de Genève », le président Bouteflika (82 an) est « sous menace vitale permanente ». Les problèmes respiratoires et neurologiques seraient tels qu’un retour du chef de l’état algérien dans son pays est hautement improbable. L’état de santé du président sortant s’est dégradé de manière perceptible, précise la même source, « d’un état de fragilité, mais permettant une vie à peu près normale, il s’est transformé en patient dont l’état est très précaire et nécessite des soins constants ».
Même un site comme Algérie Part, connu pour sa proximité avec la présidence, annonce au terme d’un très long papier sur la santé du Président « un très probable recours à l’article 102 de la constitution dans les tous prochains jours ». Lequel prévoit la possibilité de mettre fin au mandat du chef de l’état pour des raisons médicales.
Le chef de l’état algérien qui séjourne en Genève pour la deuxième fois en un mois semble parvenir à la toute fin de sa vie, d’après des témoignages concordants. Soigné au départ dans une clinique VIP, il était transporté, la semaine dernière, au huitième étage des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), seul établissement équipé pour prendre en charge les très grands malades.
Le frère d’Abdelaziz, Nacer Bouteflika, un simple haut fonctionnaire du ministère du Travail mais le véritable chef de famille dont le rôle désormais est central, se tient auprès de lui en permanence.
Gaïd Salah contesté
Le report des élections qui était déja envisagé, samedi 3 mars, au coeur du pouvoir et discrètement annoncé à certaines chancelleries étrangères, n’avait finalement pas été retenu le dimanche 4, date où une nouvelle candidature Bouteflika avait été rendue publique par une lettre où l’intéressé s’engageait à abréger son futur mandat. Du jamais vu!
La raison de cette annonce surréaliste pourrait bien être que les proches de Bouteflika, connaissant son désir de toujours de mourir en occupant les fonctions présidentielles, auraient plaidé auprès de leurs interlocuteurs pour un ultime délai avant l’annonce d’un report inéluctable.
La posture publique du chef d’état major et maitre des horloges sécuritaires, Gaïd Salah, qui a toujours affirmé sa double loyauté à l’égard du Président et du peuple à la fois, a provoqué, ces derniers jours, une contestation grandissante sur les réseaux sociaux, mais aussi dans son entourage proche. Pour l’instant pourtant, le nom du chef des armées n’est pas conspué par les manifestants qui s’en sont pris au « système » en gén »ral et aux frères Bouteflika en particulier.
Vers le report des lélections
Est-il encore temps d’hésiter, alors que les manifestations massive annoncée pour le 8 mars, pourraient faire basculer le pays vers l’inconnu? Ce mercredi matin, la chef d’état major a fait savoir que « la légitimité appartient au peuple et la sécurité à l’armée ». De bouteflika, il n’est pas fait référence, le signe clair que la situation évolue rapidement!
Un report des élections présidentielles apparait désormais comme la seule voie possible pour les élites militaires et financières au pouvoir de sauver provisoirement les meubles face à la colère populaire.
L’époque Bouteflika fait partie du passé : le tour de manège s’arrête ….
Avec qui le prochain tour de manège de corruption sordide ?
La soft démarche est en route pour mettre en p’ace Un autre plan de gangster !
Faut bien assouvir les besoins des parrains boukhnouna de la mafia
Pleurer un fantôme ?
Un mec qui venait quémander avec chantage auprès des collecteurs de fonds du FLN en France, au moment où la Révolution prenait son élan !
L’Histoire , la vraie , retiendra qu’il n’avait même pas le bac !
Abdou Semmar a toujours eu de bonnes sources d’information, notamment au sein du
clan présidentiel Ce n’est pas une tare quand on est journalsite d’avoir des ons contacts? Pour le reste,
Abdou Semmar a défendu sur Algérie Part le princu-ipe du 5eme mandat, ce que Mondafrique n’a jamais fait
Le peuple le pleurera.
Report ?
Les fantômes se remplacent !
Bouteflika n’est qu’une pièce de l’échiquier c’est l’ensemble des pièces de ce même échiquier que le peuple demande de démissionner et être remplacé par une équipe dans toute la démocratie avec un état laïc.
« Algeriepart, proche de la Présidence » : je ne comprends pas. Abdou Semmar a signé des articles pour Mondafrique sous le pseudo de Louise Dimitriakis, et maintenant vous dites qu’il est proche du pouvoir ? Soyez clair, Nicolas Beau.
chers amis,ne crions pas VICTOIRE,car le chemin est encore long et plein d’embuches.
il y’aura des casseurs payes par l’ARABIE SEoUDITE ET LES EMIRATES ARABES UNIS pour casser la fete et faire revivre le scenario egyptien,comme ils sont entrain de le faire en LYBIE ET AU YEMEN,DONC ATTENTION!!!!!!!!!!!!!!!
ON DEMANDE A CES PAYS DE NE PAS S’INGERER DANS NOS AFFAIRES comme ils l’ont fait en 1992 et la SUITE ON L ‘A CONNAIT TOUS.
Je crois que la FRANCE, CETTE FOIS CI a retenu la lecon et nous saluons la position COURAGEUSE DES USA.
En politique, le hasard n’éxiste pas, dit-on. Si l’élan de la jeunesse algeriènne a été spontané donc comprehensible, l’action provocatrice ne l’était pas. Un seul appel annonyme et des milliers puis des millions de personnes assoiffées de changement politique, se défèrlent dans la rue. On voit partout les memes slogans avec une synchronisation quasi parfaite. La question qui se pose est de savoir qui est derrière cet appel annonyme. Sans aucun doute, ce mouvement porte la signature de nos Machiavels qui preparaient depuis longtemps un nouveau repositionnement du genre on « efface tout et on recommence ». Nos Machiavels savaient déjà depuis plusieurs années que le « president » Abdelaziz Bouteflika (aucun chef d’état algerien ne merite le titre trop honorifique de President de la république, de Ben Bella a Bouteflika), etait politiquement mort depuis belles lurettes. Il fallait attendre le moment propice pour cueillir le fruit. Chose qui est faite. Et haut la main. Le grain de sable reste le « Ghachi » algerien (le peuple algerien, je ne dirais pas la pop… par respect à ses grands sacrifices et soufrances) car ce mouvement est d’une grandeur inédite dans sans histoire que nos Machiavels ont perdu leur self control. Forte pression nationale et internationale. Il n y a aucun argument solide pour justifier leurs « coups tordus » pour intervenir directement dans la rue pour calmer l’ardeur de la jeunesse algerienne. Ils avaient usé et abusé à volonté de la manipulation de l’islam, du mouvement de lutte de liberation nationale, de l’identité berbere etc… pour arriver à leur fin. On est meme arrivé à se demander s’ils n’étaient pas des non-algeriens pour vouloir une aussi grande haine à leur peuple en sabotant ce beau pays.
De nature violente, le système politique algerien a-t-il atteint sa phase finale de décomposition ?
Si Bouteflika n’a pas voulu écouter le peuple algérien, Dieu est en train d’exaucer le voeu du peuple; le voyage du retour sera apparemment l’ultime, le peuple pourra enfin s’apaiser et pharaon se retrouvera seul face à ses turpitudes. Ne le pleureront que les sangsues qui lui étaient accrochées.