Dans les quartiers de Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, aux nouvelles alarmantes du front, se mêlent, à présent, les voix d'enfants qui déclament, en russe, des poèmes du grand Alexandre Pouchkine.
Dans « Voir Gaza et mourir », Bernard Hébert livre un roman dont la force n’est pas seulement littéraire mais historique, archéologique, profondément humaine. Une fresque...