Dès après le premier putsch prétorien de1978, la corporation des officiers supérieurs a pu remodeler le jeune Etat, pour l’acclimater aux prérequis de la tribu et de l’ethnie, comme source tacites de légitimité.
Notre chroniqueur qui préfère conserver l'anonymat dresse le portrait du chef d'état major de l'armée algérienne, le général major Saïd Chengriha, l'homme fort par...