Pas besoin de l’introduire lorsqu’il débarque sur un plateau télé. Même Léa Salamé dit de lui, dans Quelle époque, qu’on ne le « présente plus ». Rare scénario, lorsqu’on parle d’une personnalité venant du monde universitaire. Mais le traitement médiatique réservé à Gilles Kepel est particulier. 

Le spécialiste de l’islam et du Moyen-Orient est omniprésent dans les médias. C’est lui qu’on invite en priorité pour parler des sujets brûlants du moment : la guerre entre Israël et Gaza et l’attentat terroriste à Arras. Ces trois dernières semaines, on l’a vu ou entendu dans la matinale de France info ; dans le 12/13, toujours sur France info ; sur BFMTV ; sur le plateau de 24H Pujadas pour LCI ; celui de L’événement du dimanche,…

Naissance d’une SAM (société d’admiration mutuelle) entre Michel Houellebecq et Gilles Kepel

Gilles Kepel, un islamophobe qui s’ignore