Le président tunisien Kaïs Saïed a réaffirmé, cet été, que seule une solution « libyo-libyenne », sans ingérence étrangère, permettra de sortir la Libye de la crise.
Dès après le premier putsch prétorien de1978, la corporation des officiers supérieurs a pu remodeler le jeune Etat, pour l’acclimater aux prérequis de la tribu et de l’ethnie, comme source tacites de légitimité.