Hospitalisé en urgence dans une clinique de Grenoble qui l’a déja reçu ces dernières années, et non en Italie comme cela a été dit sur certains sites, le président algérien Abdelaziz Bouteflika serait en très mauvais état. Ses médecins auraient admis avoir atteint cette limite où la science médicale ne peut plus vraiment améliorer l’état du patient. Un accord, nous indiquent nos sources, aurait été trouvé avec les Français sur la personnalité qui pourrait succéder à Bouteflika. Le lobbying en faveur de l’ancien ministre du pétrole et intime de Bouteflika, Chakib Khelil, semble s’intensifier