La journaliste de « Libération » Maria Malagardis n’a pas été autorisée à couvrir le One Forest Summit, un sommet co organisé par la France et le Gabon qui se tiendra à Libreville début mars, lors duquel Emmanuel Macron rencontrera le président très « françafricain » Ali Bongo. Elle a, par le passé, écrit des articles critiques du pouvoir gabonais.
Autre temps, autres moeurs
Les temps changent. En 2015, le journal Libératio, dirigé par Laurent Joffrin, était suspecté d’avoir reçu de l’argent du régime gabonais.
« Libération » sommé de s’expliquer sur ses liens avec Bongo