Amar Saâdani, ce fidèle de Bouteflika, tente d’échapper à des poursuites en Algérie, où les hommes de l’ex DRS (services secrets algériens) qu’il avait combattus, ont fait un retour en force au sein de l’institution militaire.
L’ancien patron du Front de libération nationale (FLN) doit faire face à des tracas judiciaires en Algérie. Pour y échapper, le dirigeant politique a quitté son pays et a trouvé refuge au Maroc. Au Royaume marocain, il sera à l’abri vu sa position sur le Sahara qui dénote avec le soutien inconditionnel des figures politiques algériennes quant à « la cause sahraouie ».
En 2019, Amar Saâdani avait déclaré que « le Sahara est marocain et rien d’autre ». Il a même en enfoncé le clou en soutenant que « l’Algérie a versé pendant cinquante ans des sommes faramineuse à ce qui est appelé le polisario et cette organisation n’a rien fait et n’est pas parvenue à sortir de l’impasse ».