En voyage en Mauritanie début novembre, l’ancien ministre des finances de François Hollande, Michel Sapin, constant soutien du régime mauritanien, a rencontré le président Azis, confronté à une contestation grandissante et adepte d’une répression tous azimuts. Non seulement le socialiste français n’a fait aucune déclaration sur l’état des libertés aujourd’hui en Mauritanie, mais il a accepté de devenir président d’honneur de l’antenne mauritanienne du Club des Partenariats public-privé (PPP).