« L’Algérie était prête à intervenir d’une manière ou d’une autre en Libye en janvier 2020», a révélé mardi 8 juin le chef d’Etat algérien à la chaîne qatarie.
M. Tebboune avait en effet lancé une mise en garde en janvier 2020 au plus fort de la « bataille de Tripoli » (avril 2019-juin 2020) quand la capitale libyenne était assiégée par les forces assaillantes du maréchal Khalifa Haftar. Il existe « une ligne rouge », avait m déclaré, à ne pas franchir. Sinon l’Algérie interviendra militairement.
A l’époque, l’armée algérienne n’ avait pas les moyens constitutionnels d’intervenir hors de ses frontire. C’est chose faite désormais avec le référendum qui a eu lieu en début d’année et qui donne aux forces armées algériennes une telle possibilité. Sous réserve que l’Assemblée qui devrait être élue ce samedi ratifie la disposition
Tebboune persiste et signe
Dix-huit mois plus tard, il assure à Al-Jazira que l’avertissement n’était pas que rhétorique. « Nous n’acceptons pas que la capitale d’un pays maghrébin et africain soit occupée par des mercenaires, a-t-il précisé. Nous ne pouvions pas rester les mains croisées. Le message a atteint les destinataires concernés. » M. Tebboune ne précise pas l’identité des « mercenaires » mentionnés mis au service des forces de Haftar, qui étaient les mercenaires dusse de la compagnoe privée Wagner. L’offensive anti-Tripoli avait finalement été repoussée grâce au soutien militaire décisif de la Turquie aux autorités de l’époque, le gouvernement d’accord national de Faïez Sarraj.
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