La «déradicalisation », une politique préventive où le gouvernement tente de distinguer les bons des mauvais musulmans, est à la mode. Pressé de donner son avis, l’Institut français des relations internationales (Ifri) n’avait pas eu, en 2010, autant de succès. Le gouvernement d’alors avait refusé de verser un euro pour un programme de trois ans sur la déradicalisation.