Le gisement d’Imouraren, au Niger, n’était pas un bon filon pour Areva, géant français de l’énergie. Le groupe n’aurait pas réalisé, d’après le JDD ( 25/06), l’ensemble des analyses nécessaires avant de prendre la décision d’investir. La justice française, toujours d’après le JDD, a été saisie et la brigade financière aurait reçu mi-mai une étue édifiante sur les conditions de calcul de la valeur de la mine au Niger.