Le général Jean-Marie Michel Mokoko, candidat à la présidentielle du 20 mars dernier au Congo, dont la résidence est encerclée depuis plusieurs jours par une unité anti-terroriste, se voit désormais imposer la privation des médicaments nécessaires à sa maladie chronique.
Le blocus des médicaments intervient après les démarches du pouvoir de Sassou auprès de la mère du général Mokoko pour le faire rentrer dans les rangs. Des pressions qui visent à amener le rival de Sassou à lire une déclaration rédigée par le régime de Brazzaville par laquelle il reconnaît la victoire électorale du chef de l’Etat.