La situation politique et humanitaire continue de se dégrader, en dépit des satisfecits du FMI qui vient de féliciter le président Touadera pour le retour à une croissance économique forte, de l’ordre de plus de 4 %. Un véritable exemple pour les États de la CEMAC !
La déconnexion entre la vie quotidienne des Centrafricains et les performances économiques affichées par le pouvoir et validées par les institutions de Bretton Woods n’a jamais été aussi grande.