BRICS, l’Algérie dans l’antichambre

L’Algérie, candidate de longue date à l’entrée des BRICS, commencera par un statut d’observateur, a fait savoir le Président algérien. Selon lui, le principe algérien de non-alignement est très proche de l’ADN des BRICS.

L’Algérie bénéficie du soutien des BRICS et a obtenu l’accord du groupe pour la « première phase », a fait savoir le Président algérien à une quinzaine de jours du sommet des BRICS à Johannesburg.

« Nous nous sommes entendus pour que l’accession commence par une première phase, celle d’un État, membre observateur », a annoncé Abdelmadjid Tebboune le 5 août dans un entretien télévisé avec des médias nationaux.

Les membres des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) n’ont pas encore tranché sur les critères à retenir pour accepter de nouveaux membres, selon lui. Pourtant, « ce qui nous encourage est que les acteurs des BRICS nous soutiennent, à l’image de la Russie, de la Chine, de l’Afrique du Sud et même du Brésil ».

*Source : Sputnik Afrique

1 COMMENTAIRE

  1. Ce statut d’observateur est déjà une étape positive. Et ça n’a certainement rien à voir avec cette tartufferie qu’est la procédure d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne. Mabrouk aux Algériens.

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