Dans la foulée du printemps arabe, le président Abdelaziz Bouteflika a promis, dès 2011, une révision constitutionnelle. Le Parlement pourrait être convoqué vers la fin avril au Club des pins pour voter à main levée la nouvelle Constitution qui pourrait permettre d’envisager une transition pacifique, dans l’hypothèse d’une incapacité totale du président algérien d’exercer ses fonctions. Le scénario envisagé pourrait renforcer le pouvoir du parlement, attendu notamment sur une politique inévitable d’austérité.