Algérie, le virus a eu raison du « Hirak »

Pour la première fois depuis le 22 février 2019, les rues d’Alger étaient vides ce vendredi

En ce 57e vendredi du Hirak, seuls des policiers, la plupart avec des masques, étaient présents, déployés dans les rues du centre de la capitale. Nul manifestant, nul slogan époumoné : les appels au principe de précaution et à la prudence ont porté leurs fruits, ont constaté de nombreux correspondants étrangers en Algérie, dont ceux de Jeune Afrique