La santé de Said Bouteflika, le vice rroi du régime sous le rêgne de son frère, Abdelaziz Bouteflika, ne cesse de se dégrader, a appris le site Algérie Part (interdit à Alger) de sources proches de son entourage
Condamné à quinze ans de prison ferme le 25 septembre dernier par le tribunal militaire de Blida, Saïd Bouteflika a été jugé pour « atteinte à l’autorité de l’armée » et « complot contre l’autorité de l’État ». Et depuis ce jour-là, Said Bouteflika vit très mal le sort qui lui a été réservé par la justice militaire. D’après les sources d’Algérie Part, un media animé par Abdou Semmar, réfugié en France, , le frère de l’ancien président affiche de plus en plus une inquiétante faiblesse psychologique allant jusqu’à boycotter la nourriture qui lui est fournie par la direction de la prison militaire de Blida.
Au moment de son arrestation, Said Bouteflika s’en était pris physiquement aux forces de l’ordre, obligeant celles ci à lui passer des menottes avant de l’emmener devant un juge.
Un début de paranoia
Said Bouteflika développe certains troubles de paranoïa craignant qu’il soit victime de tentatives d’empoisonnement et boycottent même les médicaments qui lui fait parvenir l’infirmerie de la prison militaire de Blida. Ces troubles psychiques inquiètent particulièrement l’entourage et membres de la famille de l’ex-conseiller frère de l’ancien Président de la République.