Face au puissant mouvement de contestation qui s’est emparé de la Tanzanie à la suite des élections générales, l’une des réponses du pouvoir a consisté à couper les réseaux sociaux.
Sous la main impitoyable de la DGSP (Direction générale de la sécurité présidentielle) – alors que cette opération relève de la police –, des jeunes, désignés de « bébés noirs », sont traqués, abattus