Mais il ne s’agit plus de la grande stratégie des années 2000. C’est désormais un recalibrage opportuniste dans un paysage post-Gaza, où la Turquie cherche à s’étendre derrière la Russie et l’Iran, dans des zones eurasiatiques contestées.
On assiste au Mali et au Burkina à une détérioration quasi quotidienne de la situation sécuritaire au profit notamment du Groupe de soutien à l’islam...