Rappelons d'emblée que l'auteur franco algérien du « serment des barbares », Boualem Sansal, dont nous saluons la libération, n'est pas pour autant un perdreau de l'année.
Il y a quelques jours, j’ai vu circuler sur les réseaux sociaux des photos de la remise à la police gabonaise de cinq vélos par l’ambassade française à Libreville
L'expert y dépeint une Amérique restaurée — musculaire, respectée, crainte — dirigée par un président dont le « peace through strength » aurait, selon lui, ramené l’ordre dans un monde chaotique.