Une alarme retentit dans la nuit glaciale du Liban-Sud. Des soldats de la paix traversent la Ligne bleue, armes et détecteurs à la main. Sous leurs pieds, invisibles et silencieux, des tunnels serpentent sur des centaines de mètres
certains députés tunisiens, pourtant jusqu'alors fervents défenseurs de Kais Saied, viennent de rompre le silence de façon aussi surprenante que fracassante.