Jadis incontestée, sa nationalité centrafricaine qu'il aurait perdue en devenant français est désormais brandie comme une arme politique. Ce qui se joue autour de lui dépasse sa personne : c’est la démocratie elle-même qui vacille.
Mais il ne s’agit plus de la grande stratégie des années 2000. C’est désormais un recalibrage opportuniste dans un paysage post-Gaza, où la Turquie cherche à s’étendre derrière la Russie et l’Iran, dans des zones eurasiatiques contestées.