L’ambassadeur Marie-Joseph-Henri LOPES, plus connu sous le nom Henri LOPES, était un homme politique, diplomate et surtout écrivain. Henri Lopès était né à Léopoldville (Congo-Kinshasa) en 1937. Après une scolarité passée entre Brazzaville et Bangui (RCA), puis des études supérieures entre Nantes et Paris, il rentre en 1965 à Brazzaville où il enseigne à l’École Normale Supérieure de l’Afrique Centrale. En 1969, le professeur d’histoire devient successivement Ministre de l’Éducation Nationale, Ministre des Affaires Étrangères (1972) et Ministre des Finances (1977-1980), après avoir été Premier Ministre (1973-1975). Il sera ensuite pendant 15 ans Directeur Général Adjoint pour la Culture et les Relations Extérieures de l’UNESCO, avant de prendre ses fonctions d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire du Congo en France (1998-2015).
Tout au long de sa carrière, Henri Lopès n’a jamais cessé d’écrire sur l’histoire africaine contemporaine , le métissage, la France et le Congo.
Voici une chronique de notre ami et lecteur Axel Samba
En tant que Congolais originaire du Congo Brazzaville, Historien, Sociologue et Écrivain, je salue la mémoire de l’illustre disparu, Grand Écrivain mondialement reconnu dont le talent de la plume ne fait aucun doute – comme le Congo Brazzaville en a produit des milliers de Jean Malonga (Premier Écrivain Congolais du Congo Brazzaville pré et post indépendant) au Géant des Lettres Sony Labou Tansi en passant par le Grand Poète et Écrivain Tchicaya Utam’si, et Jean Baptiste Taty Loutard, à tel point que le Congo Brazzaville est surnommé le « Quartier Latin » d’Afrique, nom et image que même Henri Lopes a contribués à bâtir -, dont j’ai lu en classe de terminal lettres au Lycée Savorgnan de Brazzaville, son beau roman intitulé: « Le Pleurer-rire » (Roman au programme en Terminal Lettres au Congo Brazzaville), roman satirique, qui est mélange du chagrin et de joies qui caractérisent les sociétés humaines, mais dont l’accent dans ce roman était pour dénoncer les régimes dictatoriaux tropicaux, comme le fait savoir l’auteur lui-même.
Même si, je dois dire que j’ai pas toujours été d’accord avec les choix politiques de l’illustre disparu, il a travaillé pour des régimes politiques qui ont fait agenouiller le pays, je cite: le président Marien Ngouabi militaire et 3è président du Congo Brazzaville, (dont il a été à plusieurs fois ministre comme vous l’avez cité ici dans cet article, même si Ngouabi avait compris son inefficacité de la gestion économique et voulait rendre le pouvoir à son prédécesseur Massamba-Debat, 2è président du Congo Brazzaville, avant qu’il (Ngouabi) soit assassiné par son propre régime, fruit de leur idéologie socialiste scientifique marxiste léniniste universelle qu’il prônait, de l’union soviétique jusqu’à présent, dont l’un des slogans adressés par les membres rouges vis à vis de leur Grand Camarade dans la marche de la Révolution socialiste, est: « Tu avances, nous te suivons, tu t’arrêtes, on s’arrête, tu recules, nous t’abattons », et c’est ce qui fut arrivé finalement à lui-même Ngouabi qui était le Grand camarade du socialisme scientifique marxiste léniniste au Congo Brazzaville à cette époque, qu’il professait, et Massamba-Débat sera plus tard lui-même assassiné par le régime de Ngouabi), Yombi Opangault, 4è et éphémère président du Congo Brazzaville, et Sassou Nguesso, ex et actuel président du Congo, tour à tour 7è et 9è président du Congo Brazzaville (1979-1991, et de 1994 à nos jours) avec plus de 30 ans au pouvoir, dont Henri Lopes a occupé plusieurs postes dont le dernier qu’il a occupé en fin de sa carrière politique, est Ambassadeur Plénipotentiaire et Extraordinaire du Congo Brazzaville en France pendant 15 ans, comme vous l’avez aussi dit dans cet article, et devenant ainsi Doyen du Corps Diplomatique à Paris.
Il faut dire que, dans son parcours Henri Lopes était très ambigu, car tout étant par exemple ministre de Ngouabi, il se permettait des écrits satiriques (ce que Ngouabi tolérait, car lui-même amoureux des études et professeur de physique à ses heures libres à l’université de Brazzaville qui porte son nom aujourd’hui). Mais sous Sassou, connaissant le tempérament impitoyable de ce dernier qui n’accepte pas une critique frontale et publique surtout venant de ses collaborateurs, Lopes a changé de plume de mains (pour paraphaser l’expression: changer le fusil d’épaule, rires), il s’est mis à publier des écrits moins satiriques, mais plus societaux et historiques (rires), comme: « Il est déjà demain » (2018), « Une enfant de Poto-Poto » (2012), « Ma grand-mère bantoue et mes ancêtres gaulois »(2003), etc…
Même si le roman « Pleurer-Rire » qui était satirique a été permis d’être au programme scolaire comme je l’ai dit ci-dessus, ça peut se comprendre dans la mesure où il a été publié sous Sassou I, quand ce dernier fut plus tolérant à la critique publique, et aussi du fait que le roman de par sa trame, ne s’attaque(quait) pas directement à cette époque, à la pratique du pouvoir de Sassou I ou Sassou actuel, mais plutôt à des personnages comme Idi Amin Dada de l’Ouganda ou Bokassa de Centrafrique.
Et je pense aussi peut-être que, ce roman a été permis d’être au programme scolaire depuis des décennies, même avec Sassou revenu au pouvoir, car Sassou est parfois tolérant vis à vis de ses illustres collaborateurs quand la critique satirique ou simplement la critique publique ou pas, ne menace pas son pouvoir, tel est cas de ce roman, et en le laissant au programme scolaire, c’est aussi une manière pour Sassou de dire peut-être aux partenaires internationaux qui peuvent le tancer sur la gouvernance: « Voyez-vous, Je suis démocrate (rires), car je permets au programme scolaire au Congo, des romans satiriques qui s’attaquent à la politique ». Mais c’est juste une hypothèse, sans être sûr comme je l’ai dit.
À mon avis, Henri Lopes avec son parcours académique et universitaire, s’il fallait mettre son intelligence au service de son pays le Congo Brazzaville, il devrait travailler pour des personnalités politiques congolaises qui avaient contribué au développement comme tel du pays, je parle par exemple du 1er président du Congo Brazzaville: L’Abbé Fulbert YOULOU, Homme d’Église comme l’indique son préfixe, et aussi Grand Homme d’État (sans sombrer dans la propagande, mais je dis que les faits), dont je cite même avec images à l’appui dans mon travail sur les 3 familles présidentielles dynastiques d’Afrique, voici le lien pour les intéressés et pour ceux qui n’ont pas encore lu ça: https://www.academia.edu/105664836/EYADEMA_GNASSINGBE_BONGO_ONDIMBA_et_OBIANG_NGUEMA_Trois_Familles_Présidentielles_Dynastiques_Africaines_Uniques_au_Monde
Ou même Lopes devrait travailler avec des collaborateurs de YOULOU comme Jacques Opangault qui été le vice-président de YOULOU, et un grand Homme d’État, réconciliant avec YOULOU pour l’intérêt supérieur du pays, car ils étaient rivaux avant (confère aussi l’article sur les 3 familles présidentielles dynastiques).
Ou Henri Lopes devrait travailler pour Félix Tchicaya, le 1er député Congolais (du Congo Brazzaville et du Gabon pré indépendants d’abord, avant qu’il le devienne uniquement pour le Congo pré indépendant), s’il était encore vivant à cette époque au moment où Henri Lopes commença sa carrière politique très jeune.
Voici même pour les intéressés et pour ceux qui n’ont pas encore lu ça, un 1er lien d’un travail d’article de presse, que j’avais fait sur ces 3 personnalités politiques Grandeur Nature du Congo Brazzaville, publié sur le site internet canadien « l’Encre Noir », un article très intéressant à lire qui met en lumière les réalisations de ces trois hommes visionnaires qui avaient posé les bases de ce qui allait être le vrai développement du pays, le Congo Brazzaville: https://lencrenoir.com/felix-tchicaya-jacques-opangault-fulbert-youlou-trois-hommes-de-grandeur-indelebile-dans-lhistoire-politique-du-congo/
Et voici un 2è lien pour les intéressés et pour ceux qui n’ont pas encore lu ça (mais celui-ci est en portugais), d’un article scientifique sur ces 3 personnalités politiques du Congo Brazzaville qui justement met en lumière de façon détaillée leurs parcours politiques et leurs réalisations pour l’intérêt supérieur du pays (Congo Brazzaville): https://www.academia.edu/44920944/TCHICAYA_OPANGAULT_YOULOU_TRÊS_HOMENS_DA_GRANDEZA_NA_HISTÓRIA_POLÍTICA_DO_CONGO
Et qui dit Félix Tchicaya dit la région du Kouilou dont il était originaire, et aussi car la panthère, symbole de son parti politique le PPC (Parti Progressiste Congolais, droite) est liée au département du Kouilou et zones environnantes, dont culturellement et historiquement, est une terre du Royaume Loango, jusqu’à la province Nyanga et zones environnantes (Gabon, d’où d’ailleurs aussi Félix Tchicaya avait cette amabilité d’être député du Gabon colonie au même moment qu’au Congo Brazzaville colonie), comme je l’avais démontré historiquement et scientifiquement dans mon travail sur le Royaume Loango, et justement j’ai pensé mettre le lien de cet article sur ce royaume pour les intéressés et pour ceux qui n’ont pas encore lu ça, donc voici le lien sur ce travail scientifique sur le royaume Loango: https://www.academia.edu/104648700/Le_Royaume_Loango_Afrique_Centrale_et_son_Organisation_Politique_Sa_Province_de_Mâ_Mpili_et_sa_Capitale_Politique_Bwali_XIVè_XIXè_Siècles_
Mais bon les choix sont individuels, et comme on dit dans notre tradition Bantu Kongo: « Wa foua, wa toma » (« Le mort est apprécié », en traduction libre française), et que devant la mort, il est temps d’enterrer la hache de guerre, ne plus critiquer le défunt, passer la crème sur les choix ou actes controversés du défunt, et même pardonner ce dernier de ces actes controversés, d’où je vais pas m’éterniser à critiquer les choix politiques de Henri Lopes, donc on pardonne ces choix, et je lui dis alors: qu’il s’en aille bien dans l’univers ancestral, “Sur l’autre rive” (comme l’intitulé de l’un des titres de ses livres, publié en 1992), car chez nous les Bantous d’Afrique Centrale, dans notre cosmogonie, les morts ne sont pas morts comme tels, mais ils changent simplement de vies ou de rives, en étant maintenant à Mpemba (la rive ou le village ancestral dans la cosmogonie Bantou Kongo). Yenda Mboté Tata Lopes, mpé bimba ba kou bouana kouna!! (“Va en paix M. Lopes, et que les ancêtres t’accueillent là-bas”, traduit librement de la langue kikongo lari).
Enfin, pour les intéressés et amoureux d’Histoire et d’anthropologie de la Diaspora Africaine lointaine (partie durant la Traite Négrière) ou des Afrodescendants aux Amériques, et même sur des thèmes sociologiques et anthropologiques, vous pouvez consulter la page principale de mon profil sur la plateforme academia.edu, vous trouverez des travaux scientifiques intéressants, comme l’histoire invisible des Afro-Argentins, des Afro-paraguayens, et des Afro-urugayens, l’histoire occultée des Afro-mexicains, l’histoire de la présence des Bantous originaires d’Afrique Centrale (appelés Loango là-bas du fait qu’ils ont été embarqués par le port de Loango, j’en parle aussi dans mon travail scientifique sur le royaume Loango), dans les bataillons militaires d’indépendance de Simón Bolívar, Héros et Libérateur reconnu par beaucoup, de justement de plus 4 pays hispaniques sous le joug espagnol au XIXè siècle, et bien d’autres sujets interessants, et vous pouvez partager à vos proches intéressés aussi ce lien de profil. Voici alors le lien de la page principale de mon profil où se trouvent mes travaux sur cette plateforme academia.edu: https://ufrrj.academia.edu/SAMBAAxel
En tant que Congolais originaire du Congo Brazzaville, Historien, Sociologue et Écrivain, je salue la mémoire de l’illustre disparu, Grand Écrivain mondialement reconnu dont le talent de la plume ne fait aucun doute – comme le Congo Brazzaville en a produit des milliers de Jean Malonga (Premier Écrivain Congolais du Congo Brazzaville pré et post indépendant) au Géant des Lettres Sony Labou Tansi en passant par le Grand Poète et Écrivain Tchicaya Utam’si, et Jean Baptiste Taty Loutard, à tel point que le Congo Brazzaville est surnommé le « Quartier Latin » d’Afrique, nom et image que même Henri Lopes a contribués à bâtir -, dont j’ai lu en classe de terminal lettres au Lycée Savorgnan de Brazzaville, son beau roman intitulé: « Le Pleurer-rire » (Roman au programme en Terminal Lettres au Congo Brazzaville), roman satirique, qui est mélange du chagrin et de joies qui caractérisent les sociétés humaines, mais dont l’accent dans ce roman était pour dénoncer les régimes dictatoriaux tropicaux, comme le fait savoir l’auteur lui-même.
Même si, je dois dire que j’ai pas toujours été d’accord avec les choix politiques de l’illustre disparu, il a travaillé pour des régimes politiques qui ont fait agenouiller le pays, je cite: le président Marien Ngouabi militaire et 3è président du Congo Brazzaville, (dont il a été à plusieurs fois ministre comme vous l’avez cité ici dans cet article, même si Ngouabi avait compris son inefficacité de la gestion économique et voulait rendre le pouvoir à son prédécesseur Massamba-Debat, 2è président du Congo Brazzaville, avant qu’il (Ngouabi) soit assassiné par son propre régime, fruit de leur idéologie socialiste scientifique marxiste léniniste universelle qu’il prônait, de l’union soviétique jusqu’à présent, dont l’un des slogans adressés par les membres rouges vis à vis de leur Grand Camarade dans la marche de la Révolution socialiste, est: « Tu avances, nous te suivons, tu t’arrêtes, on s’arrête, tu recules, nous t’abattons », et c’est ce qui fut arrivé finalement à lui-même Ngouabi qui était le Grand camarade du socialisme scientifique marxiste léniniste au Congo Brazzaville à cette époque, qu’il professait, et Massamba-Débat sera plus tard lui-même assassiné par le régime de Ngouabi), Yombi Opangault, 4è et éphémère président du Congo Brazzaville, et Sassou Nguesso, ex et actuel président du Congo, tour à tour 7è et 9è président du Congo Brazzaville (1979-1991, et de 1994 à nos jours) avec plus de 30 ans au pouvoir, dont Henri Lopes a occupé plusieurs postes dont le dernier qu’il a occupé en fin de sa carrière politique, est Ambassadeur Plénipotentiaire et Extraordinaire du Congo Brazzaville en France pendant 15 ans, comme vous l’avez aussi dit dans cet article, et devenant ainsi Doyen du Corps Diplomatique à Paris.
Il faut dire que, dans son parcours Henri Lopes était très ambigu, car tout étant par exemple ministre de Ngouabi, il se permettait des écrits satiriques (ce que Ngouabi tolérait, car lui-même amoureux des études et professeur de physique à ses heures libres à l’université de Brazzaville qui porte son nom aujourd’hui). Mais sous Sassou, connaissant le tempérament impitoyable de ce dernier qui n’accepte pas une critique frontale et publique surtout venant de ses collaborateurs, Lopes a changé de plume de mains (pour paraphaser l’expression: changer le fusil d’épaule, rires), il s’est mis à publier des écrits moins satiriques, mais plus societaux et historiques (rires), comme: « Il est déjà demain » (2018), « Une enfant de Poto-Poto » (2012), « Ma grand-mère bantoue et mes ancêtres gaulois »(2003), etc…
Même si le roman « Pleurer-Rire » qui était satirique a été permis d’être au programme scolaire comme je l’ai dit ci-dessus, ça peut se comprendre dans la mesure où il a été publié sous Sassou I, quand ce dernier fut plus tolérant à la critique publique, et aussi du fait que le roman de par sa trame, ne s’attaque(quait) pas directement à cette époque, à la pratique du pouvoir de Sassou I ou Sassou actuel, mais plutôt à des personnages comme Idi Amin Dada de l’Ouganda ou Bokassa de Centrafrique.
Et je pense aussi peut-être que, ce roman a été permis d’être au programme scolaire depuis des décennies, même avec Sassou revenu au pouvoir, car Sassou est parfois tolérant vis à vis de ses illustres collaborateurs quand la critique satirique ou simplement la critique publique ou pas, ne menace pas son pouvoir, tel est cas de ce roman, et en le laissant au programme scolaire, c’est aussi une manière pour Sassou de dire peut-être aux partenaires internationaux qui peuvent le tancer sur la gouvernance: « Voyez-vous, Je suis démocrate (rires), car je permets au programme scolaire au Congo, des romans satiriques qui s’attaquent à la politique ». Mais c’est juste une hypothèse, sans être sûr comme je l’ai dit.
À mon avis, Henri Lopes avec son parcours académique et universitaire, s’il fallait mettre son intelligence au service de son pays le Congo Brazzaville, il devrait travailler pour des personnalités politiques congolaises qui avaient contribué au développement comme tel du pays, je parle par exemple du 1er président du Congo Brazzaville: L’Abbé Fulbert YOULOU, Homme d’Église comme l’indique son préfixe, et aussi Grand Homme d’État (sans sombrer dans la propagande, mais je dis que les faits), dont je cite même avec images à l’appui dans mon travail sur les 3 familles présidentielles dynastiques d’Afrique, voici le lien pour les intéressés et pour ceux qui n’ont pas encore lu ça: https://www.academia.edu/105664836/EYADEMA_GNASSINGBE_BONGO_ONDIMBA_et_OBIANG_NGUEMA_Trois_Familles_Présidentielles_Dynastiques_Africaines_Uniques_au_Monde
Ou même Lopes devrait travailler avec des collaborateurs de YOULOU comme Jacques Opangault qui été le vice-président de YOULOU, et un grand Homme d’État, réconciliant avec YOULOU pour l’intérêt supérieur du pays, car ils étaient rivaux avant (confère aussi l’article sur les 3 familles présidentielles dynastiques).
Ou Henri Lopes devrait travailler pour Félix Tchicaya, le 1er député Congolais (du Congo Brazzaville et du Gabon pré indépendants d’abord, avant qu’il le devienne uniquement pour le Congo pré indépendant), s’il était encore vivant à cette époque au moment où Henri Lopes commença sa carrière politique très jeune.
Voici même pour les intéressés et pour ceux qui n’ont pas encore lu ça, un 1er lien d’un travail d’article de presse, que j’avais fait sur ces 3 personnalités politiques Grandeur Nature du Congo Brazzaville, publié sur le site internet canadien « l’Encre Noir », un article très intéressant à lire qui met en lumière les réalisations de ces trois hommes visionnaires qui avaient posé les bases de ce qui allait être le vrai développement du pays, le Congo Brazzaville: https://lencrenoir.com/felix-tchicaya-jacques-opangault-fulbert-youlou-trois-hommes-de-grandeur-indelebile-dans-lhistoire-politique-du-congo/
Et voici un 2è lien pour les intéressés et pour ceux qui n’ont pas encore lu ça (mais celui-ci est en portugais), d’un article scientifique sur ces 3 personnalités politiques du Congo Brazzaville qui justement met en lumière de façon détaillée leurs parcours politiques et leurs réalisations pour l’intérêt supérieur du pays (Congo Brazzaville): https://www.academia.edu/44920944/TCHICAYA_OPANGAULT_YOULOU_TRÊS_HOMENS_DA_GRANDEZA_NA_HISTÓRIA_POLÍTICA_DO_CONGO
Et qui dit Félix Tchicaya dit la région du Kouilou dont il était originaire, et aussi car la panthère, symbole de son parti politique le PPC (Parti Progressiste Congolais, droite) est liée au département du Kouilou et zones environnantes, dont culturellement et historiquement, est une terre du Royaume Loango, jusqu’à la province Nyanga et zones environnantes (Gabon, d’où d’ailleurs aussi Félix Tchicaya avait cette amabilité d’être député du Gabon colonie au même moment qu’au Congo Brazzaville colonie), comme je l’avais démontré historiquement et scientifiquement dans mon travail sur le Royaume Loango, et justement j’ai pensé mettre le lien de cet article sur ce royaume pour les intéressés et pour ceux qui n’ont pas encore lu ça, donc voici le lien sur ce travail scientifique sur le royaume Loango: https://www.academia.edu/104648700/Le_Royaume_Loango_Afrique_Centrale_et_son_Organisation_Politique_Sa_Province_de_Mâ_Mpili_et_sa_Capitale_Politique_Bwali_XIVè_XIXè_Siècles_
Mais bon les choix sont individuels, et comme on dit dans notre tradition Bantu Kongo: « Wa foua, wa toma » (« Le mort est apprécié », en traduction libre française), et que devant la mort, il est temps d’enterrer la hache de guerre, ne plus critiquer le défunt, passer la crème sur les choix ou actes controversés du défunt, et même pardonner ce dernier de ces actes controversés, d’où je vais pas m’éterniser à critiquer les choix politiques de Henri Lopes, donc on pardonne ces choix, et je lui dis alors: qu’il s’en aille bien dans l’univers ancestral, “Sur l’autre rive” (comme l’intitulé de l’un des titres de ses livres, publié en 1992), car chez nous les Bantous d’Afrique Centrale, dans notre cosmogonie, les morts ne sont pas morts comme tels, mais ils changent simplement de vies ou de rives, en étant maintenant à Mpemba (la rive ou le village ancestral dans la cosmogonie Bantou Kongo). Yenda Mboté Tata Lopes, mpé bimba ba kou bouana kouna!! (“Va en paix M. Lopes, et que les ancêtres t’accueillent là-bas”, traduit librement de la langue kikongo lari).
Enfin, pour les intéressés et amoureux d’Histoire et d’anthropologie de la Diaspora Africaine lointaine (partie durant la Traite Négrière) ou des Afrodescendants aux Amériques, et même sur des thèmes sociologiques et anthropologiques, vous pouvez consulter la page principale de mon profil sur la plateforme academia.edu, vous trouverez des travaux scientifiques intéressants, comme l’histoire invisible des Afro-Argentins, des Afro-paraguayens, et des Afro-urugayens, l’histoire occultée des Afro-mexicains, l’histoire de la présence des Bantous originaires d’Afrique Centrale (appelés Loango là-bas du fait qu’ils ont été embarqués par le port de Loango, j’en parle aussi dans mon travail scientifique sur le royaume Loango), dans les bataillons militaires d’indépendance de Simón Bolívar, Héros et Libérateur reconnu par beaucoup, de justement de plus 4 pays hispaniques sous le joug espagnol au XIXè siècle, et bien d’autres sujets interessants, et vous pouvez partager à vos proches intéressés aussi ce lien de profil. Voici alors le lien de la page principale de mon profil où se trouvent mes travaux sur cette plateforme academia.edu: https://ufrrj.academia.edu/SAMBAAxel