Amal Lamari, la fille du général-major Smaïn Lamari, l’ancien patron de la direction du contre-espionnage au sein du DRS, décédé en 2007, a de grands rêves pour son laboratoire pharmaceutique Pharmalliance. Selon nos sources, elle négocie en ce moment avec un fonds d’investissement américain pour ouvrir son capital à un investisseur étranger. Ce qui lui permettra d’engranger une importante somme. Son laboratoire pourra ainsi assurer son développement en finançant ses investissements futurs. Il est à noter que Pharmalliance est l’une des entreprises pharmaceutiques les plus prospères en Algérie. Mais pour rattraper son retard vis-à-vis de son principal concurrent privé, Biopharm, lequel a ouvert son capital à trois investisseurs étrangers en 2013, Pharmalliance a besoin d’un nouveau souffle managérial et financier. Les affaires de la fille de l’ancien général du DRS, l’une des figures les plus influentes par le passée, ont longtemps suscité une vive polémique en Algérie car beaucoup de soupçons pèsent sur la transparence des fonds ayant permis la création de Pharmalliance. Ceci dit, personne, ni haut responsable ni juge, n’a osé porter la moindre accusation contre la fille du défunt général