Le bras droit du Président algérien, Boualem Boualem, bien que compromis dans des affaires de corruption, jouel es justiciers dans ses fonctions d’éminence grise du président Tebboune
C’est un certain Lachkam, général de son état, qui avait obtenu en 2018 que le site Mondafrique soit censuré en Algérie, alors que ce gradé jouait un rôle éminent auprès de l’ancien Chef d’Etat Major, Gaïd Salah, aujourd’hui décédé. C’est ce même haut gradé qui imposa en décembre 2019 la candidature d’Abdelmadjid Tebboune et assura son élection grâce à sa mainmise sur la transmission des résultats du scrutin dans out le pays. Cet activisme n’aura guère favorisé sa carrière.
Dans l’épuration qui succéda à la disparition de Gaïd Salah à la fin de 2019, le général Lachkam fut limogé six mois plus tard, mais il fut relativement épargné. C’est qu’il bénéficia alors du soutien de son ami intime, Boualem Boualem, devenu, lui, le bras droit du président algérien en charge des affaires juridiques et judiciaires. De ce poste d’observation, celui que ses adversaires ont surnommé « le Raspoutine » de la Présidence ,fait et défait les carrières
Des remugles de corruption
Seul souci, Boualem Boualem est cité désormais dans le gros dossier de dilapidation de deniers publics et de corruption qui permet à la Cour militaire de Blida, de mettre en cause …. le général Lachkham,.
La perspective d’un deuxième mandat de Tebboune, soutenu notamment par la France qui plaide en faveur de « la stabillté du régime » a redonné à Boualem Boualem une vraie influence au sein du sérail sécuritaire.
Pour combien de temps?