La majorité des journalistes mauritaniens de la presse francophone a été exclue du sommet de l’Union Africaine.
Des journaux comme « le Calame », « l’éveil », « le quotidien de Nouakchott », « L’authentique’, « Mauriweb », « Cridem », connus pour leur indépendance et dont certains font l’objet de poursuites de la part du pouvoir mauritanien, n’ont pas pu participer aux points de presse organisés par les autorités.Ce qui permettra au président français, Emmanuel Macron, d’échapper à des questions pertinentes sur l’état des libertés en Mauritanie ou sur la corruption généralisée.