La Mission du FMI au Congo est compromise dans la mesure où le gouvernement congolais n’a pas communiqué les données de base sur le pétrole, les mines et le bois. Autrement dit, le pouvoir du président Sassou Nguesso continue de cacher au FMI l’étendue de la dette et donc des circuits de corruption qui ont été mis en place avec la complicité de la Chine.